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Pêche du brochet : en rivière, en lac et en canaux.

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Sessions hivernales 2022.

Pêche en polders.

Première session.

Durant les jours précédant cette sortie, les journées avaient été grises, pluvieuses et tempérées.

Météo : temps gris, t° de l’air : 8°, t° de l’eau : 6°, vent léger de S à S-O de 10 km/h, lune : croissant descendant.

Blessée au niveau lombaire, c’était après quatre mois de soins et d’exercices que nous avions pu reprendre par une courte session le long des polders hollandais. Sur place, en campagne, nous avions trouvé des polders aux eaux brunies par les ruissellements des eaux de pluie mélangées au lisier épandu en abondance. Cela avait considérablement réduit notre circuit de prospection et aussi nos chances de réussite. Finalement, au bout de ces deux jours, nous avions terminé sur un score de six prises inférieures à 82 cm. Un 95+ avait été décroché.

Nous avions rarement connu pareille situation. Pourtant nous n’étions pas les seuls à pêcher.

Deuxième session.

Après la fraicheur du mois de décembre, les vents du sud venant de la péninsule Ibérique avaient apporté une douceur printanière alors que nous étions au tout début du mois de janvier. Ce radoucissement avait été accompagné d’un temps de plus en plus perturbé et venteux.

Météo : temps gris, t° de l’air : 14°, t° de l’eau : 6°, vent léger de S à S-O de 25 à 50 km/h, lune : premier quartier.

Nous avions décidé de passer trois jours de pêche dans les polders en modifiant en partie nos circuits de pêche.

Jour 1 : A l’aube, nous avions trouvé des eaux plus claires et aussi des brochets actifs. Cela nous avait permis de réaliser rapidement quatre prises. Puis l’activité s’était calmée pour reprendre en début d’après-midi. A la tombée de la nuit, nous avions stoppé sur un score de quatorze prises dont un 90+. Il était certain que la douceur climatique n’était pas étrangère à cette réussite.

Jour 2 : Les vents forts du S-O nous avaient mis en difficulté durant toute la matinée. Malgré nos efforts et nos recherches, nous étions restés sans attaque sur des postes pourtant peu connus. En les quittant, nous avions eu à chaque fois l’impression qu’ils étaient vides de brochet. En sortant de cette région, nous avions rapidement repris confiance et retrouvé le succès. Le temps fort, nous l’avions connu à la tombée de la nuit. Nous avions terminé sur un score de douze prises inférieures à 81 cm. Un nonante plus avait été décroché.

Jour 3 : Nous avions décidé de pêcher les polders abrités des vents forts (45 km/h) en menant une pêche maniée au moyen de leurres figuratifs. Les attaques n’avaient pas manqué et permis de réaliser dix prises dont deux 90+, le premier étant pris à midi au moment où la clarté avait été à son maximum et le second à la tombée de la nuit. Désolés pour la qualité des photos peu représentatives difficiles à faire dans ces conditions.

Au bout de ces trois jours, nous avions totalisé trente-six prises inférieures à 92 cm, la majorité étant faite sur des postes de chasse occupés au lever et au coucher de soleil. Pour le reste du temps, beaucoup de postes nous avaient paru inoccupés. Pour réussir, nous avions joué sur une sélection de leurres à impression photoréaliste et de coloris naturels.

Troisième session.

Après la douceur printanière connue au début du mois de janvier, les vents prédominants d’est avaient refroidi considérablement l’atmosphère. Les légères gelées nocturnes avaient compliqué la pêche dans les polders, les eaux de surface étant rapidement gelées.

Météo : temps gris et brumeux, t° de l’air : 2°, t° de l’eau : 6°, vent léger de S-O de 20 km/h, pleine lune.

Pour cette session de deux jours, nous avions eu des conditions hivernales, du froid et un ciel brumeux avec une visibilité réduite.

Jour 1 : Durant la première heure, nous avions trouvé des brochets actifs. Cela nous avait permis de réaliser cinq prises dont un 90+. Sur le deuxième lieu visité, nous étions restés sans attaque alors que celui-ci nous avait paru non pêché depuis longtemps. Par la suite, nous avions dû attendre la tombée de la nuit pour retrouver de l’activité et réaliser quatre 70+.

Jour 2 : Les conditions climatiques étaient restées inchangées. Quant à l’activité, elle avait été positive jusqu’en milieu d’après-midi. Après quoi elle s’était arrêtée avec l’arrivée d’averses de neige fondante. Pour réussir, nous avions pratiqué une pêche en Stop and Go au moyen de leurres durs flottants. Nous avions terminé sur un score de dix prises inférieures à 81 cm.

Encore une fois beaucoup de postes nous avaient paru vides. D’autres très bons par le passé avaient leurs accès fermés par les riverains fatigués de voir les pêcheurs déambuler à l’arrière de leur propriété. Durant ces deux jours, nous avions croisé cinq pêcheurs hollandais dont quatre pratiquaient la pêche au mort posé…

Quatrième session.

Durant les jours précédant cette sortie, les journées avaient été nuageuses et brumeuses.

Météo : temps gris et brumeux, t° de l’air : 7°, t° de l’eau : 6°, vent léger de S-O, lune : dernier quartier.

Pour ces trois jours, nous avions eu des conditions hivernales en début de session et beaucoup plus douces par la suite.

Jour 1 : A notre arrivée, nous avions trouvé des polders partiellement gelés et ensoleillés. Alors que les conditions avaient été positives pour réussir, nous avions galéré toute la journée. A la fin de celle-ci, le score avait été de quatre prises juste supérieures à 65 cm. Y avait-il du poisson là où nous avions pêché ?

Jour 2 : Après un début positif qui nous avait permis de réaliser un 90+, nous avions rendu visite à un polder situé en ville et particulièrement surveillé par les riverains. Nous y avions pêché durant le reste de la matinée avec bonheur car les attaques avaient été nombreuses mais ingérables. Nous l’avions quitté sur un score de zéro prise mais heureux…Par la suite, nous avions galéré jusqu’à la tombée de la nuit. Finalement, c’était pratiquement dans la nuit que nous avions retrouvé des brochets actifs et terminé sur un score de neuf prises dont un 90+.

Jour 3 : Nous avions débuté sur une croisée de polders que nous connaissions par le passé pour sa profondeur. Sur place, cet endroit nous avait paru oublié par les pêcheurs. Pourtant au troisième lancer souvent le bon, une tape de fond avait conduit à un combat puissant mené par un brochet teigneux bien décidé de se défaire de ce qu’il avait malencontreusement attaqué.

Ensuite, nous nous étions rendus sur un lieu de passage de tout carnassier enquête de nourriture. Sur place, nous avions été stupéfaits de voir deux triplettes de gros cormorans ventrus se tenir non loin de ce sanctuaire. Pourtant au premier lancer, nous avions dû en découdre avec un 90+ portant malheureusement sur le dos une large morsure de cormoran.

Après une après-midi de prospection rapportant trois prises, nous avions terminé par la visite d’un très bon polder couru par de nombreux pêcheurs. Sur place, nous étions loin de nous douter que nous allions réussir rapidement la prise d’un troisième 90+ alors que nous n’étions pas les seuls à pêcher. Nous avions terminé là notre session sur un score de dix-neuf prises pour quatre 90+.

De cette session, nous avions eu la confirmation :

Qu’un refroidissement n’est pas favorable à la pêche du brochet en hiver. Celui-ci le bloque sur le fond.

Que le proverbe, en automne à la campagne et en ville l’hiver est toujours bien d’actualité malgré le réchauffement climatique.

Qu’en hiver, il existe de bons jours mais beaucoup sont difficiles.

Cinquième session.

Durant les jours précédant cette sortie, un fort flux assez irrégulier de secteur N-O avait prédominé sur l’ensemble du bassin prospecté. Le temps couvert à nuageux était resté sans précipitation.

Météo : temps gris à ensoleillé, t° de l’air : 9°, t° de l’eau : 6°, vent modéré à fort de S-O, nouvelle lune.

Pour ces trois jours, nous avions eu une hausse des températures très favorable à la pêche hivernale.

Jour 1 : Sur place, l’ensoleillement et l’absence de vent nous avaient poussés à faire de la prospection. Toutefois, cela n’avait pas été négatif car nous avions engrangé huit prises jusqu’en début d’après-midi, moment où nous étions restés en panne d’attaque. Changeant de région, nous avions terminé par la prise d’un 90 +.

Jour 2 : Les conditions anticycloniques installées depuis le début de l’année avait laissé place au retour des perturbations. Les vents tempêtueux d’ouest annonciateurs de pluie avait rendu le brochet agressif durant toute la journée. Cela nous avait permis de réaliser dix-sept prises inférieures à 95 cm. Nous avions connu là une journée exceptionnelle !

Jour 3 : Cette journée moins venteuse et ensoleillée avait été marquée par dix prises dont deux 90+. Pour réussir, nous avions pêché les secteurs appauvris par la pêche et oubliés par les pêcheurs depuis longtemps. En cours de journée, nous avions été rejoints par un pêcheur hollandais qui nous avait témoigné en français son inquiétude grandissante concernant les pêcheurs slaves résidant aux Pays-Bas, ceux-ci pêchant uniquement pour se nourrir. Encore une fois, nous avions partagé son inquiétude.

Sixième session.

Durant les jours précédant cette sortie, un fort flux instable d’ouest accompagné de faibles précipitations avait prédominé sur l’ensemble du bassin prospecté.

Météo : temps pluvieux, t° de l’air : 8° à 3°, t° de l’eau : 6°, vent modéré à fort de S-O, lune : premier quartier.

Lors du premier jour, nous avions eu une chute des températures de 5° en début d’après-midi.

Jour 1 : Les conditions favorables à l’activité du brochet nous avaient permis de trouver des brochets agressifs dès nos premiers lancers. Alors que nous étions à douze prises en début d’après-midi, l’activité avait été stoppée par l’arrivée d’un vent froid du N-E. En moins d’une heure, la température avait perdu 5°. Malgré nos efforts, nous étions restés sur notre score dont un 90+.

Jour 2 : Durant toute la nuit ainsi que la matinée, les températures étaient restées proches du 0°. Malgré le soleil, il nous avait fallu attendre l’arrivée de vents forts de S-O pour voir la température remonter à 6°. A partir de ce moment, nous avions retrouvé une activité fébrile qui nous avait permis de réaliser sept prises dont trois 80+.

Septième session.

Durant les jours précédant cette sortie, les vents d’ouest avaient apporté de faibles précipitations ainsi qu’une certaine douceur printanière durant les après-midis.

Météo : temps ensoleillé, t° de l’air : 6°, t° de l’eau : 6°, vent modéré à fort de S-O, pleine lune.

Pour ces deux jours, nous avions eu une chute des températures ainsi que des vents froids et forts d’ouest soufflant en rafale à plus de 50km/h.

Jour 1 : Malgré le vent et la pluie glaciale, nous avions débuté positivement par deux prises au lever du jour. Puis, il nous avait fallu attendre la fin de la matinée pour trouver des brochets actifs et réaliser cinq prises inférieures à 80 cm. En changeant de région, nous avions croisé beaucoup de pêcheurs hollandais menant une pêche active au leurre ainsi qu’au mort posé. Nous en écartant, nous avions par chance trouvé une concentration de poisson fourrage et réalisé en moins d’une heure cinq 80+. Ensuite, nous n’avions plus eu d’attaque, les postes visités étant certainement vides.

Jour 2 : Durant cette journée glaciale et venteuse, l’activité avait été au plus bas. En pêchant avec insistance, quatre prises avaient été faites. Il était certain que les brochets étaient regroupés près du poisson blanc. Nous n’avions pas trouvé l’une de ces concentrations…

Huitième session.

Durant les jours précédant cette sortie, la tempête Eunice avait balayé le nord de l’Europe avec des rafales atteignant les 130 km/h.

Météo : temps ensoleillé, t° de l’air : 10° à 0°, t° de l’eau : 7°, vent de S-O, lune : dernier quartier.

Pour ces quatre jours, nous avions eu en début et fin de session deux journées printanières entrecoupées de périodes froides accompagnées de pluies glaciales.

Jour 1 : Malgré les conditions climatiques printanières, nous avions dû attendre le début de l’après-midi pour déclencher les premières attaques et connaître trois heures d’activité. Neuf 70+ avaient été réalisés dont un massif 90+.

Jour 2 : Durant cette journée, nous étions passé du printemps à l’hiver en terminant dans des vents froids accompagnés de pluies grêlées. Cinq 70+ avaient été réalisés dont 84 cm.

Jour 3 : La météo n’ayant pas changé, nous avions galéré toute la journée dans le froid et la pluie. En tout début de matinée, nous avions perdu lors du combat un 90+. Puis, il nous avait fallu attendre le milieu de l’après-midi pour réaliser six prises dont un 90+ pris dans des conditions extrêmes de pêche.

Jour 4 : Nous avions terminé cette session dans des conditions printanières. En début d’après-midi, sur un poste que nous savions bon, nous nous étions obstinés à pêcher en lancer ramener. Alors que nous étions sur le point d’arrêter, une violente attaque avait conduit à une belle prise. Continuant de la sorte, nous avions quitté cet endroit sur un total de neuf prises dont six 80+ et un 90+. Aucune attaque n’avait été ratée. Il était certain que nous avions vécu un grand moment de pêche.

Durant cette saison hivernale, nous n’avions pas trouvé ce que nous avions laissé en 2020, nos postes étant certainement surpêchés ou vidés. Pour réussir, nous avions changé de région. Là, nous avions trouvé moins de concurrence mais un nombre conséquent de cormorans chassant dans des eaux peu profondes… En exploitant toutes nos connaissances, nous avions réussi et terminé sur une impression positive (A suivre).

Concernant les cormorans, nous avions appris que la demande de régulation introduite par les pêcheurs professionnels auprès des autorités européennes avait été rejetée.

Quant à la pression dévastatrice menée par les slaves depuis plus de dix ans, nous n’avions rien vu, celle-ci se passant certainement à la belle saison. Toutefois, dans les régions où il est toujours permis de prélever un brochet par jour, nous étions restés sans attaque. En cours de saison, nous avions également pris connaissance qu’une dénonciation hollandaise avait permis à la police d’arrêter un groupe de slaves détenant notamment trois métrés, l’un d’eux (115+) ayant pu être remis à l’eau. Nous en avions eu la confirmation par la publication de photos sur les réseaux sociaux hollandais.

Bilan hivernal 2022 :

175 prises pour quinze 80+ et dix-sept 90+ en 21 jours de pêche.

 

La pêche professionnelle aux Pays-Bas.

Une pêche professionnelle qui a tué en 2021, 500 tonnes

de poissons rien que sur Ijsselmeer !

A lire.

www.roofmeister.nl/urk

 

Irlande : Le mot de Laurent.

A l’automne 2021, j’ai pu me rendre en Irlande avec deux amis afin d’y pêcher treize jours. Comme à mon habitude, mon objectif avait été de pratiquer une pêche itinérante au moyen de mon embarcation sur des rivières et des lacs peu soumis à la pêche.

A la fin du séjour, mon impression par rapport à 2019 avait été positive, sachant que je suis toujours bien là-bas. Nous y avons réalisé deux 100+, huit 90+, treize 80+, vingt-cinq 70+ et les autres.

44 prises pour Dominique.

32 prises pour Alain dont un métré.

45 prises dont un métré pour moi.

A cela, il faut ajouter six gros brochets décrochés au bateau ainsi que trois belles attaques.

Dominique avait pêché comme à son habitude à la mouche. Sa méthode était intéressante à suivre car il avait pêché pratiquement à vue. C’était ainsi que j’avais pu voir les brochets aspirer littéralement son streamer. Cela avait été instructif sur le comportement du bec qui venait souvent voir et prenait de façon discrète au quatrième ou cinquième passage. De cette observation, j’en avais déduit qu’insister sur un poste en étant discret pouvait finalement être payant.

Cela était plus délicat avec mes leurres. Même en amortissant le posé, cela faisait du bruit et finissait par éveiller la méfiance de poissons déjà pris.

Quant à Alain, il avait finalement bien réussi en pêchant au bouchon manié.

Durant ce séjour, nous avons essentiellement pêché en rivière. Concernant les lacs que nous avons visité, ceux-ci étaient poissonneux. Toutefois, à l’exception d’un lac gardé où nous avons réalisé vingt prises, nous avons eu difficile de réussir…

Concernant les pêcheurs slaves, nous avons également appris qu’en plus des gardes, les irlandais intéressés par le retour du brochet en faisaient une affaire personnelle…

Encore une fois en quittant l’Irlande, je n’avais en tête qu’une seule envie :

Y revenir le plus rapidement possible.

Bien à vous Laurent.

 

Jean-Pierre Boissé aux fonds bleus.

 

 

 

Rappelez-vous de Jean-Pierre.

Publié en 2020 sur notre site.

Je suis plongeur et je réside en Charente (sud-ouest de la France). Passionné par le brochet, j’ai décidé depuis dix ans de plonger afin de mieux le comprendre ainsi que de le photographier. Aujourd’hui, j’ai accumulé plus de deux cents plongées à sa recherche. Pour cela, je pratique le snorkeling (combinaison, palmes, masque et tubas). Je pratique cette étude dans un lieu qui porte le nom « Les fonds bleus ». Ce sont des eaux de source avec des résurgences. Les eaux y sont limpides et la température y est constante 10 à 12° toute l’année. Celles-ci se jettent dans la Charente * dont les eaux sont beaucoup moins claires et plus chaudes. De ce fait, les brochets viennent passer l’hiver avec les rotengles, les chevesnes, les perches, etc…Au printemps, la source est habitée par les brochetons ainsi que les vairons. C’est magnifique de les observer à ce moment. Comme des bébés, ils sont tout mignons. Très souvent, je croise les mêmes brochets que j’arrive à reconnaître par des signes distinctifs ainsi que leurs caractères bien particuliers. Dernièrement, j’en ai surnommé un le teigneux. A notre première rencontre, il a fait preuve d’agressivité. Maintenant, il m’observe et ne me craint plus. Mes amis m’appellent le dresseur de brochet car j’arrive très près d’eux. Généralement, ce sont des brochets de soixante à septante centimètres que j’observe sauf lors d’une nuit, celui-là dépassait le mètre…Je termine en disant que ce poisson rapide, malin et majestueux pousse au respect. Publié en 2020 sur notre site.

Aujourd’hui, ce coin de paradis est classé en réserve de pêche.

Il a fait également l’objet d’un magnifique film présenté par Jean-Pierre !

Félicitations Jean-Pierre.

A lire :

En page leurres.

Notre sélection de leurres pour la saison 2022.

En page sessions, articles 2007-2022 :

Irlande 2007-2017.

Pays-Bas 2007-2017.

1980-2010 : La pêche du brochet.

Semois namuroise par N-H Balzat, ancien rédacteur en chef du « Pêcheur Belge ». Conseillé aux amoureux de la pêche en Semois namuroise.

Semois 2017. Nous étions retournés en Semois.

Le brochet pour passion avec Anne Barthelemi. Conseillé à lire par tout pêcheur en recherche de conseils.

Lune noire mais parfois…

Les mots de Laurent en Irlande (2017).

Un voyage en Irlande en 2000.

En Suède avec Alain Pany.

Dix histoires de brochets géants racontées par Jan Eggers.

Le brochet et sa traque.